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Yannick Meneceur

Magistrat de l’ordre judiciaire en disponibilité, chef de division au Conseil de l’Europe et candidat à la thèse de doctorat en droit à l’université de Paris-Saclay sur la régulation de l’intelligence artificielle
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Biographie

Yannick Meneceur est magistrat de l’ordre judiciaire en disponibilité, chef de division au Conseil de l’Europe et candidat à la thèse de doctorat en droit à l’université de Paris-Saclay sur la régulation de l’intelligence artificielle.
Il a été maître de conférences associé à l’université de Strasbourg en droit du numérique, directeur de session à l’ENM et ancien élève de l’IRA de Lille (qualification analyste).

En tant que magistrat, il a exercé des fonctions pénales, notamment en matière de lutte contre la cybercriminalité et la contrefaçon.
Il a aussi dirigé au ministère de la Justice un important projet informatique national.

Au Conseil de l’Europe, il a contribué à l’analyse comparative des systèmes judiciaires européens et a développé une expertise en matière de régulation de la transformation numérique, notamment en ce qui concerne l’intelligence artificielle.

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Bibliographie

« L’intelligence artificielle en procès » a été publié en mai 2020 dans la collection Macro Droit – Micro Droit aux éditions Bruylant et a reçu le prix du Cercle Montesquieu en 2021.
Yannick Meneceur a aussi collaboré à plusieurs ouvrages relatifs à la régulation de l’intelligence artificielle et a publié de nombreux articles dans des revues juridiques ou généralistes.

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Interventions

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L'I.A. ET NOUS

Suis-je le gardien de l’IA ?

La responsabilité de l’intelligence artificielle est une question cruciale qui transcende les frontières technologiques et juridiques. Alors que l’IA continue de s’intégrer dans nos vies, de la conduite autonome à la prise de décisions médicales, nous devons nous interroger sur qui sera tenu pour responsable lorsque des erreurs se produiront. Qui, du développeur, de l’entreprise, du régulateur ou de l’utilisateur, se tiendra dans le box des accusés ? Transparence des algorithmes, traçabilité des décisions prises par l’IA, établissement de normes éthiques qui guideront le développement et l’utilisation de ces systèmes… Le chantier est immense pour garantir la confiance du public envers ces nouvelles technologies.
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