Vivez l'actualité
de la bioéthique

Inscription à la newsletter hebdomadaire
du Forum Européen de Bioéthique

Merci! Votre demande a été reçue!

Oups! Quelque chose s'est mal passé lors de la soumission du formulaire

Eric Fiat

Professeur de philosophie et d'éthique à l'Université Gustave Eiffel Paris-est
symbole

Biographie

Eric FIAT est Professeur à l’Université Gustave Eiffel où il enseigne la philosophie et l’éthique médicale appliquée
Né à Château-Thierry (02), il enseigne après l’Agrégation de philosophie (1991) quelques années en lycée.

Après un Doctorat (2002) il devient Maître de Conférences à l’Université Paris-est.
Après une HDR (2011), il est nommé Pr d’Université.

Responsable du Master d’éthique médicale et hospitalière appliquée à l’UGE, il est également membre de la commission d’éthique de la SFH (société française d’hématologie) et de celle de l’INCA (institut national du cancer).

Il est par ailleurs violoncelliste dans l’Ensemble instrumental de Château-Thierry.

Travaillant dans le champ de l’Anthropologie philosophique, il consacre ses recherches à la fragilité humaine dans ses dimensions corporelles.

symbole

Bibliographie

  • Ode à la fatigue, Ed. de l’observatoire 2022 ;
  • Le devenir de l’intériorité à l’ère des nouvelles technologies, Le bord de l’eau 2018 ;
  • La pudeur, avec Adèle Van Reeth, Plon 2016 ;
  • Corps et âme, Cécile Defaut 2015 ;
  • La couleur du matin profond, Dialogue avec Pierre Magnard, Les petits platons 2015 ;
  • Petit traité de dignité, Larousse 2012.  

    A paraître :

    Mais où sont donc mes morts allés, Bayard, 2025,
    Grand traité des petits poils,
    Un conte philosophique,
    L’observatoire, 2025,
    La Passion,
    Qu’est-ce que ça change ?,
    Labor et Fides, 2025.

symbole

Interventions

This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

QUEL HUMAIN POUR DEMAIN?

La médecine : à consommer sans modération ?

Quel que soit le supermarché que l’on fréquente, nous sommes en droit d’exiger une qualité de pommes, de pâtes ou de lessives équivalente. En va-t-il de même en matière de médecine ? Peut-on exiger telle qualité de soins ou telle efficacité ? C’est en tout cas la tendance vers laquelle nous semblons nous aventurer. Notation des médecins, remboursement ou déremboursement de certains actes ou pratiques, évolution globale du système de santé… Si chacun semble en droit d’exiger des soins pour être en bonne santé, la médecine, pour autant, ne remplit pas tous les critères d’un bien de consommation courante.
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

EN TEMPS DE CRISES

Recherches scientifiques en période de crise

En situation de crise, l’urgence semble prendre le pas sur tout le reste : la liberté d’aller et venir, celle de porter un masque, de faire la fête… Mais ce principe reste-t-il valable en matière d’éthique de la recherche ? Peut-on, sous prétexte qu’il existe un péril imminent, s’affranchir de la lenteur inhérente et prudente propre à la recherche en matière de santé humaine, pour obtenir plus rapidement un vaccin, un traitement ou toute autre solution au problème qui se dresse entre l’être humain et sa survie ? Comment mettre en balance les risques et les bénéfices d’une recherche accélérée ? Qui s’assure du bien fondé des études, de la validité des résultats et du caractère éthique de la recherche en France ? Par ailleurs, en ces temps mondialisés, ce qui est valable en France, l’est-il dans les autres pays de l’Union Européenne et du monde ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

EN TEMPS DE CRISES

Cesser d’exister pour rester en vie.

« La santé avant tout ! » A l’acmé du confinement et de la pandémie, ce leitmotiv s’est répandu avec une grande viralité, comme si la santé était la valeur suprême à protéger. Après tout, il est vrai qu’en son absence, difficile d’envisager quoi que ce soit d’autre. Si la santé est essentielle, l’être humain n’a-t-il pas d’autres besoins vitaux que celui de se soigner, manger, boire, respirer, se vêtir et avoir un toît au dessus de sa tête ? Dans cette optique, il peut être intéressant d’opposer la survie à l’existence. Par ailleurs, la pandémie liée à la COVID-19 a mis en exergue un élément récurrent en matière de politique de santé, la primauté donnée au prolongement de la vie. Mais est-ce vraiment là un objectif raisonnable ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

BIOÉTHIQUE ET ENVIRONNEMENT(S)

Quelle est la place de l’art et de la culture en période de crise écologique ?

On imagine parfois que l’art et la culture sont le propre de l’être humain, la quintessence de ce qu’il peut produire en s’affranchissant de sa nature sauvage. Mais dans une société où l’urgence est à la sauvegarde de l’environnement, que reste-t-il comme place pour l’art et la culture ? Sont-ils des biens aussi précieux que l’air que l'on respire et l’eau que l'on boit ? Comment interpréter la multiplication récente des actions militantes violentes à l’encontre des œuvres d’art ?
This is some text inside of a div block.
min
favoris
icone menu
play

SANTÉ MENTALE ET BIOÉTHIQUE

Anxiété, dépression et burn-out. Le mal du siècle ?

Les pressions professionnelles et personnelles ont atteint des niveaux sans précédent. Les exigences de performance, la culture de l'instantanéité et l'isolement numérique sont autant de facteurs contribuant à l'augmentation des cas d'anxiété, de dépression et de burn-out, causant un problème de santé publique majeur ainsi qu’un challenge médical et social.
00
JOURS
00
HEURES
00
MIN
00
SEC