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Marie-Frédérique BACQUÉ

Psychologue, professeure de psychopathologie à l'université de Strasbourg et psychanalyste française
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Biographie

Professeure des universités à Strasbourg, Marie-Frédérique Bacqué a une formation de psychopathologie clinique (Paris V) et d'anthropologie sociale (EHESS). Ses travaux portent essentiellement sur la question de la mort et du deuil dans les sociétés contemporaines. Elle s'interroge sur l'abandon des anciens rites religieux et sur le paradoxe de la demande de nouveaux rites funéraires. Elle a commencé à s'intéresser à ce domaine en travaillant en hématologie avec le Pr. Robert Zittoun.

En 1989, elle se lance dans une étude des structures de soins palliatifs au Royaume-Uni financée par le Conseil de l'Europe. Devant les avancées anglo-saxonnes dans le soutien des endeuillés et ses réflexions sur la mort, elle a adhéré à la Société de Thanatologie Française dont elle est aujourd'hui la présidente. Cette société étudie la mort et le mourir. Marie-Frédérique Bacqué en est la présidente depuis 2010.

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Bibliographie

  • Elle est directrice de l’unité de recherche universitaire Subjectivité, lien social et modernité.
  • Elle est rédactrice en chef des revues Études sur la Mort et Psycho-oncologie.
  • Elle reçoit, depuis trente ans, en psychothérapie des personnes qui ont vécu des deuils traumatisants ou compliqués.
  • À l’université de Strasbourg, elle développe des recherches sur les effets et la valeur des psychothérapies d’inspiration psychanalytique.
  • Elle co-anime des groupes d’endeuillés particulièrement avec l’association Nos tout petits d’Alsace.
  • Elle reçoit, depuis trente ans, en psychothérapie des personnes qui ont vécu des deuils traumatisants ou compliqués. À l’université de Strasbourg, elle développe des recherches sur les effets et la valeur des psychothérapies d’inspiration psychanalytique.

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Interventions

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PROCRÉATION : LA FAMILLE EN CHANTIER

Mort avant de naître

Perdre un enfant avant sa naissance… Le deuil d’un enfant non né est le plus difficile des deuils car il concerne un être cher aux parents, mais qui n’est connu de personne. La solitude face au deuil constitue une détresse. Dès lors, on assiste à une montée de demandes de bénédictions, de rituels, de sépultures de l’enfant mort-né ou du fœtus. Voire de son inscription dans le livret de famille. Comment les analyser? Comment les comprendre? Quels sont les besoins et les attentes exprimés? Faut-il les satisfaire ou les tempérer ? Comment les interpréter à l’échelle d’une société ?
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QUEL HUMAIN POUR DEMAIN?

Qu’allons-nous faire de la mort ?

Le rite funéraire est un des fondements du passage à la civilisation. Or, l’évolution de nos connaissances sur la manière dont on considère le corps humain, l’emprise globalement décroissante du sacré sur le profane et même l’évolution de nos technologies (numérisation des données personnelles, réseaux sociaux…) ne cessent de modifier notre perception de la mort ainsi que la manière dont elle est intégrée dans notre société.
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EN TEMPS DE CRISES

L'impact psychologique de la crise

Vivre une situation de crise est loin d’être un fait anodin. Elle génère un stress susceptible d’induire des symptômes sur le long terme, que cela soit à l’échelle de l’individu ou même de toute la population. La santé mentale des français semble accuser le coup de la crise sanitaire et économique. Le stress post-traumatique que nous avons tous vécu, avec des intensités variables, au cours de ces derniers mois est difficile à diagnostiquer. Souvent dénié par l’entourage, les professionnels de santé et les patients eux-même, quelles peuvent être ses manifestations et comment le prendre en charge ?
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EN TEMPS DE CRISES

Cesser d’exister pour rester en vie.

« La santé avant tout ! » A l’acmé du confinement et de la pandémie, ce leitmotiv s’est répandu avec une grande viralité, comme si la santé était la valeur suprême à protéger. Après tout, il est vrai qu’en son absence, difficile d’envisager quoi que ce soit d’autre. Si la santé est essentielle, l’être humain n’a-t-il pas d’autres besoins vitaux que celui de se soigner, manger, boire, respirer, se vêtir et avoir un toît au dessus de sa tête ? Dans cette optique, il peut être intéressant d’opposer la survie à l’existence. Par ailleurs, la pandémie liée à la COVID-19 a mis en exergue un élément récurrent en matière de politique de santé, la primauté donnée au prolongement de la vie. Mais est-ce vraiment là un objectif raisonnable ?
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